Vulvo-vaginites récidivantes

30 mai 2013, par SPENATTO N.

Les leucorrhées physiologiques ont (chez une même femme à chaque cycle) des caractères similaires. Elles ne sont considérées comme pathologiques que si elles se modifient en couleur, abondance ou en odeur. Elles traduisent alors une inflammation vaginale (vaginite) qui peut s’accompagner d’une inflammation vulvaire (vulvo-vaginite). Les symptômes associés peuvent être : un prurit ou des brulures vulvaires, des dyspareunies ou une dysurie.

Les principaux germes responsables de vaginites sont les levures (Candida albicans surtout) dans 20 à 25% des cas, les bactéries et en particulier la vaginose bactérienne (Gardnerella vaginalis associée à d’autres bactéries en particulier anaérobies) dans 40 à 45% des cas et les parasites (Trichomonas vaginalis) dans 15 à 20% des cas. La trichomonose est une IST (Infection Sexuellement Transmissible) et ne sera pas abordée dans le cadre des vulvo-vaginites récidivantes [1].

× N.B. : Ce contenu est limité et destiné au grand public. Si vous êtes professionnel de santé, cliquez ici pour vous inscrire gratuitement, et accédez à un contenu dédié et plus approfondi.
Si vous êtes déjà inscrit, connectez-vous !

Suivez-nous

Newsletter

  Professionnels de santé

Les autres sites de la fondation